ANR – Mynion

ANR – Mynion

Pilotage de projet

  • LUBEM UR 3882

Responsable de projet

  • Coton Monika, Enseignante-chercheuse

Contact projet

  • Dr. Monika COTON Enseignante-chercheuse
    monika.coton@univ-brest.fr

    Laboratoire LUBEM UR3882

    Technopôle Brest-Iroise
    29280 Plouzané, FranceTél 02 90 91 51 00

Durée

48 mois
Janvier 2023 – décembre 2026

Budget

604 K€
Financé par l’ANR

ANR – MYNION

MYcotoxiN migratION in moldy foods and exposure at the consumer level: one step further to determine consumer habits, provide safe consumer recommendations and limit food losses

« Les mycotoxines produites dans les aliments moisis : pratiques du consommateur et recommandations pour assurer leur sécurité et limiter le gaspillage alimentaire »

Le projet

Les moisissures altèrent la qualité des produits jusqu’à les rendre impropres à la consommation, conduisant à un gaspillage alimentaire.  Mais elles peuvent également constituer un risque sanitaire car certaines espèces fongiques peuvent produire des mycotoxines susceptibles de migrer dans l’aliment sans que le consommateur ne puisse les détecter. Dans ce contexte, MYNION, projet de recherche financé par l’ANR dans le cadre de l’appel à projet de recherche « Alimentation et Systèmes alimentaires », s’intéresse, d’une part, au comportement des consommateurs vis-à-vis des produits moisis et, d’autre part, à la réalité de la contamination fongique au sein des ménages français via une approche de science participative. Les espèces fongiques contaminantes seront ensuite étudiées pour évaluer leur potentiel de production de mycotoxines et la migration des mycotoxines dans les aliments et ainsi prendre en compte ce risque sanitaire. Ce projet vise à déterminer des pratiques/scénarii à risque et à donner aux consommateurs des recommandations simples pour réduire le gaspillage alimentaire tout en assurant leur sécurité.

Objectifs

Ce projet vise à déterminer des pratiques/scénarii à risque sous l’angle de la contamination fongique des aliments et à donner aux consommateurs des recommandations simples pour réduire le gaspillage alimentaire tout en assurant leur sécurité. Ces recommandations seront largement diffusées par les partenaires du projet à destination du grand public et de la communauté scientifique. Ce projet s’inscrit dans les objectifs récemment annoncés pour l’European Green Deal (Pacte vert pour l’Europe) et la stratégie “de la ferme à l’assiette” visant à rendre nos systèmes alimentaires plus durables, et plus largement dans des objectifs généraux de développement durable au niveau mondial.

Partenaires

LOCAPPRO

LOCAPPRO

Équipe

  • Kimberley GIRARDON, Ingénieure de recherche
  • Patrick GABRIEL, Enseignant-chercheur
  • Meriam KARAA, Maître de conférences
  • Philippe BREST, Maître de conférences
  • Hanane EL BAHRAOUI, Enseignante-chercheuse

Porteurs de projet

  • Morgane INNOCENT, Ingénieure de recherche, enseignante-chercheuse
  • Mourad MAKKACI, Enseignant-chercheur

Contact projet

Durée

14 mois

Budget

60.5 K€
Dont 38.5 K€ par Brest Métropole

Partenaires

 

LOCAPPRO

Étude du besoin et de l’opportunité de la création d’un outil de LOgistique mutualisé pour faCiliter l’APPROvisionnement local en restauration collective et commerciale pour le territoire de Brest Métropole

Le projet

Projet de recherche financé par l’UBO et Brest Métropole (BM) dans le cadre de son Projet Alimentaire Métropolitain, ce projet s’intéresse aux circuits alimentaires intra-territoriaux, en vue d’améliorer et partager la connaissance des circuits courts de nos « territoires alimentaires » dans le but de les dynamiser. Plus précisément, le projet vise à interroger l’adéquation entre la demande et l’offre en approvisionnement local et à réfléchir à la pertinence et la forme d’un outil de mise en relation des acteurs du système alimentaire pour faciliter l’approvisionnement local en restauration collective et commerciale sur BM.

Objectifs

Déterminer s’il existe un besoin côté demande et une opportunité côté offre pour le développement des circuits locaux d’approvisionnements via notamment la réflexion sur un outil logistique mutualisé sur le territoire de BM visant à faciliter l’approvisionnement local en restauration collective et commerciale. Si oui, parvenir à définir les spécificités de l’outil idéal adapté à la problématique du territoire.

Partenaires

Au cœur d’un bassin de vie de 400 000 habitants, Brest métropole constitue le point d’ancrage de la Bretagne occidentale. Créée en 1974, la Communauté urbaine de Brest, devenue métropole le 1er janvier 2015, regroupe huit communes fondatrices, soit environ 212 000 habitants. Cette coopération intercommunale traduit la volonté des 8 communes d’agir ensemble pour un meilleur service à la population, un aménagement plus harmonieux, le fonctionnement des services urbains ignorant les frontières. Ces domaines d’intervention recouvrent notamment les domaines du développement économique, culturel et social ; de l’espace communautaire ; de politique de la Ville dans la communauté et d’équilibre social de l’habitat sur le territoire communautaire ; de la gestion des grands services d’intérêt collectif, de protection et de mise en valeur de l’environnement, et de politique du cadre de vie.

 

RETERALIM

RETERALIM

Responsable de projet

  • Agnès LECOMPTE – Maître de conférences

Équipe

Laboratoire GÉOARCHITECTURE

  • Florence GOURLAY – Maître de conférence
  • Ronan LE DELEZIR – Maître de conférence
  • Emma LE LAY – Ingénieure d’études
  • Jean-Baptiste PASBECQ – Stagiaire Master 2

Laboratoire LEGO

  • Camille CLEUZIOU – Ingénieure d’études
  • Morgane INNOCENT – Ingénieure de recherche
  • Mériam KARAA – Maître de conférence
  • Manon LOBJOIS – Doctorante
  • Jomana MAHFOD – Maître de conférence
  • Hasna SABIR – Enseignante chercheuse

UCO

  • Sylvie FOUTREL – Maître de conférence

 

2 Laboratoires impliqués : Laboratoire LEGO, Laboratoire Géoarchitecture
3 partenaires : Lorient agglomération Mady & Co, la Chambre d’Agriculture du Morbihan
BUDGET : 186 k€ (financé par ADEME)
DURÉE : 2 ans

RETERALIM

Reterritorialisation de l’alimentation par le développement des filières locales: le cas du Pays de Lorient

Objectifs

 

Le projet vise à accompagner les institutions publiques du Pays de Lorient dans leur effort de création de filières alimentaires locales. Il s’agira principalement d’identifier sous quelles conditions les producteurs pourraient privilégier des filières de distribution intraterritoriales, et de mettre en évidence les solutions et infrastructures logistiques nécessaires à la mise en place d’un tel objectif. Au-delà des éléments de diagnostic et d’identification de solution, le projet sera une occasion indirecte de mobiliser les producteurs auprès des solutions existantes, et d’aider à l’animation de filières locales existantes ou en construction.

Le projet est organisé en trois lots qui permettront in fine de répondre à trois grands objectifs:

  • Comprendre les leviers et les freins au niveau des acteurs de la production et de la logistique pour une reterritorialisation de l’alimentation.
  • Étudier les liens que ces démarches pourraient entretenir avec la réduction de l’agribasching.
  • Apporter des éléments de connaissance concernant les méthodes de création de nouvelles filières territorialisées.

Méthodologie

La méthodologie du projet de recherche suit une méthodologie de recherche-action qui s’appuiera sur des données terrain auprès des producteurs/éleveurs d’une part et auprès des acteurs intervenant dans la filière logistique d’autre part.
Dans un premier lot, la méthodologie se base sur une série d’entretiens qualitatifs, pour étudier la filière lait du pays de l’orient, du fait d’une initiative prometteuse en cours sur le territoire.
Dans un second lot, des enquêtes qualitatives seront menées avec es producteurs et des acteurs de la logistique sur deux filières agricoles du Pays de Lorient pour élargir le sujet au-delà de la filière lait.
Enfin dans un dernier lot, des enquêtes quantitatives et une cartographie de ces deux filières viendront valider et quantifier les résultats.

 

Résultats

Le projet donnera lieu à trois livrables ayant vocation à accompagner la transformation du système alimentaire territorial du Pays de Lorient: profilage des producteurs du territoire et une cartographie des acteurs par filière, recommandations sur les outils permettant d’améliorer l’image des producteurs du territoire et de sensibiliser les habitants au soutien du système alimentaire local.

Chaire PADE

Chaire PADE

 

 

ÉQUIPE

  • Claire-Lise ACKERMANN
  • Mathieu CARIOU
  • Camille CHÉDOTAL
  • Emmanuel COTON
  • Ronan DIVARD
  • François GUIBÉ
  • Meriam KARAA
  • Agnès LECOMPTE
  • Ivan LEGUÉRINEL
  • Jérôme MOUNIER
  • Sanaa Ouaade
  • Magali PROST
  • Patricia SIBÉRIL
  • Annick TAMARO

Titulaire de la Chaire: 

  • Morgane Innocent
  • Patrick Gabriel

Partenaires

  • LUBEM: Laboratoire Universitaire de Biodiversité et d’Écologie Microbienne
  • Open Factory
  • IAE de Bretagne Occidentale
  • Esiab

Les Mécènes 

  • Kermené
  • Even
  • Écomiam
  • Goupr Roullier
  • BD France
  • Ildys
  • ARKEA

Les Soutiens

  • Région Bretagne
  • Brest Métropole
  • Quimper Bretagne Occidentale
  • Act Food Bretagne
  • Maison de la Bio
  • Aux goûts du jour
  • Madabrest

Site Web 

https://nouveau.univ-brest.fr/chaire-pratiques-alimentaires-durables/fr

 

Chaire “Pratiques Alimentaires Durables”

Son fonctionnement

La Chaire est un ensemble de ressources et d’expertises de natures variées : socioéconomique, financière, scientifique, pratique & managériale. Son  financement se structure autour du mécénat (sou l’égide de la fondation UBO) mais également par le temps de travail des différents chercheurs et  collaborateurs académiques. La Chaire PADE va réaliser son premier cycle d’octobre 2022 à octobre 2026.

 

Sa raison d’être

Développer la confiance entre les acteurs par une vision commune des pratiques alimentaires durables. Participer au renforcement des liens de confiance, de la fourche à la fourchette, entre les parties prenantes (entreprises, pouvoirs publics, associations et consommateurs) souhaitant favoriser une alimentation durable, en aidant à établir des modes de production et de consommation durables

Ses principes

  • Objectivité scientifique.
  • Fonctionnement collaboratif.
  • Contribution aux Objectifs du Développement Durable (ODD)*
    2, 12 et 17 : faim « zéro » ; production et consommation responsables ; partenariats pour la réalisation des objectifs.

Les axes thématiques

  1. Confiance et méfiance des consommateurs à l’égard des acteurs de l’alimentation et liens avec l’alimentation durable.
  2. Technologies associées à naturalité & définition de ses dimensions : dont le rôle de la perception du bien-être animal.
  3. Soutenir, valoriser et recréer des filières locales et nationales de production alimentaire & rendre accessible l’offre alimentaire durable.

 

 

 
INTERREG FMA COOL FOOD PRO

INTERREG FMA COOL FOOD PRO

Cool Food Pro

INTERREG FMA COOL FOOD PRO

Avril 2021 – Juin 2023

Cool Food Pro – Ensemble vers une restauration
collective saine et durable

EQUIPE

Audrey FONTAINE (coordinatrice du projet, IGE)
Morgane INNOCENT (Co-responsable scientifique du projet, IGR)
Camille TORREILLES (IGE)
Kimberley GIRARDON (IGR)
Annick TAMARO (Co-responsable scientifique du projet, EC)
Meriam KARAA (EC)
Philippe BREST (EC)
Sylvie CODO (EC)
Magali PROST (EC)
Erwan JOUD (EC)
Cécile MORINIERE (Secrétaire du LEGO)

Porteurs du projet :

Morgane INNOCENT, Annick TAMARO et Audrey FONTAINE

Contact :

info@coolfoodpro.net

Site web du projet :

www.coolfoodpro.net

Le projet

COOL FOOD Pro est un projet européen visant à accompagner le secteur de la restauration privée et publique vers des changements durables de leurs pratiques, en Angleterre et en France. Il s’inscrit dans la transition du secteur de la restauration collective en vue d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2050. L’objectif du projet est d’accompagner 100 sites de restauration collective dans leurs changements de pratiques et d’économiser ainsi 1000 tonnes de CO2e.

Cool Food Pro propose un calculateur en ligne gratuit, permettant aux professionnels de la restauration collective de mesurer en temps réel l’impact environnemental de leurs changements de pratiques : l’achat de produits bio, locaux et de saison ; l’augmentation du nombre de repas à base de protéines végétales ; la réduction du gaspillage alimentaire et plastique.

Cet outil est complété par de nombreuses ressources tels que le site internet du projet sur lequel les établissements peuvent retrouver des recettes, des cas d’études ainsi qu’un kit de communication clé-en-main à destination des convives. Les partenaires français et britanniques accompagnent aussi sur les terrain les différents établissements dans leurs changements de pratiques : pesées de suivi du gaspillage, relecture des grilles de menus, mise en relation avec des fournisseurs bio et locaux, etc.

2 Laboratoires impliqués : LEGO, UBO Open Factory
5 partenaires : UBO, Maison d’Agriculture Biologique du Finistère, Labocéa, PECT (UK), Soil Association (UK)
15 établissements accompagnés sur la phase pilote du projet
85 établissements impliqués sur la phase de déploiement
BUDGET : 1,58 M€ (cofinancement FEDER : 69%)
DURÉE : 27 mois

Productions liées au projet : à venir…

ANR FOODREST

ANR FOODREST

ANR FOODREST

2021 – 2025

Mieux comprendre et réduire le gaspillage
des fruits et légumes frais chez les ménages

FOOD waste REduction through combined
microbiological and behavioral STudies

EQUIPE

Patrick GABRIEL
Morgane INNOCENT
Marine LE GALL-ELY
Annick TAMARO
Bertrand URIEN
Charlotte VERON

Porteur du projet :

Patrick GABRIEL

Le projet 

Les ménages produisent 53% des déchets alimentaires en Europe et les fruits et légumes frais constituent les volumes les plus importants, souvent associés à leur altération. L’adoption de pratiques de stockage adaptées et de gestes d’hygiène efficaces par les foyers pourront donc conduire à une réduction du gaspillage alimentaire. Le projet ANR FOODREST vise à mieux évaluer la réalité de la contamination microbienne dans les espaces de stockage des ménages, à mieux comprendre les comportements des foyers vis à vis des fruits et légumes altérés, et à proposer des recommandations hygiéniques efficaces et plus naturelles pour réduire le gaspillage alimentaire, tout en étant acceptables par les ménages.

  • 2 unités de recherche impliquées : LEGO, LUBEM
  • 9 chercheurs
  • 2 partenaires : ANSES et ADEME
  • 1500 personnes impliquées dans les études
  • 558 K€ de budget
  • Financement Agence Nationale de la Recherche
  • Durée du projet : 4 ans

Ils en parlent

« L’énorme gaspillage des fruits et légumes », reportage réalisé par Charlie Dupiot – Émission « CQFD » mercredi 15.02.2023 .

 

 

 

Productions liées au projet :

Les recherches sont en phase de démarrage, les productions restent à venir…